Article paru sur le site d'Eveline Caduc le 10 octobre 2018.
« Métamorphose », le terme le plus fort du dernier roman de Boualem Sansal n’est pas dans son titre , Le Train d’Erlingen, mais dans son sous-titre :« La métamorphose de Dieu ».
Comment faut-il entendre l’expression ?
À la question posée lors du Festival du Livre de Mouans-Sartoux, Sansal a botté en touche : « en donner une seule explication est bien difficile ! »
La réponse est donc ouverte.
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