27 décembre 2017 - Conversation avec Jérôme Ferret et Farhad Khosrokhav

Par Le 27/12/2017

Article paru sur le site TheConversation.com le 19 décembre 2017.

 

Cet article est publié dans le cadre des activités de la Plateforme Violence et sortie de la violence(FMSH), dont The Conversation France est partenaire. Farhad Kosrokhavar et Jérôme Ferret dirigent l’Observatoire des radicalisations de la Plateforme Violence et sortie de la violence. Ils sont également membres de l’ANR SoV et du Panel international sur la sortie de la violence.

Pour consulter l'intégralité de l'interview, rendez-vous sur le site TheConversation.com

Nous publions le commentaire de Monsieur Lionel Vives-Diaz ci-après :

Cher Monsieur,

Je fais suite à l'article qui relate votre thèse sur le développement du djihadisme en France dû, notamment, à l'attitude scandaleuse de ces salauds de Pieds-Noirs qui ont renoué, dès leur arrivée en 1962, avec leurs vieux réflexes esclavagistes contre les populations immigrées qui étaient jusque-là si bien traitées.
Des attentats djihadistes s'étant également produits en Espagne, en Belgique, au Royaume-Uni, entre autres, il serait intéressant de connaître le nombre de Pieds-Noirs qui ont élu domicile dans ces pays afin de mesurer l'impact de leur présence sur le développement du terrorisme dans ces Etats européens.
Le sérieux de votre étude me pousse à vous faire une révélation fracassante que je vous autorise à utiliser dans une prochaine publication.
Je connais la cause réelle du trou dans la couche d'ozone et tiens à vous en faire part, quitte à passer pour un caouette. Il faut remonter au 14 avril 1959. Ce jour-là, celui dont je ne vous dévoilerai pour l'instant que le surnom, Pepico le mocoso (à ne pas confondre avec son frère Pepe le bizouche) remontait à Oran le caminico de la muerte à bourriguette sur son bourricot, portant en bandoulière sa bilocha. Un véritable exploit que d'emprunter ce chemin, mais Pepico n'était pas un cagón. Arrivé au sommet, voilà qu'il lui prend la gana de faire voler sa bilocha. Et elle monte, elle monte... il ne la voyait plus, non qu'il ait eu des lagañas dans les yeux, mais parce qu'elle était vraiment très haut dans le ciel. Et elle disparut, trouant la couche d'ozone ! Un Pieds-Noirs en est donc responsable.
Sachant que la bilocha se fait sur une armature en roseaux de la forme d'une croix de Lorraine, il serait intéressant d'enquêter également sur la responsabilité de De Gaulle dans ce désastre.

Bien à vous

Lionel VIVES-DIAZ

 

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