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24 octobre 2018 - Notes sur Le Train d’Erlingen de Boualem Sansal

Le 24/10/2018

Article paru sur le site d'Eveline Caduc le 10 octobre 2018.

« Métamorphose », le terme le plus fort du dernier roman de Boualem Sansal n’est pas dans son titre , Le Train d’Erlingen, mais dans son sous-titre :« La métamorphose de Dieu ».
Comment faut-il entendre l’expression ?
À la question posée lors du Festival du Livre de Mouans-Sartoux, Sansal a botté en touche : « en donner une seule explication est bien difficile ! »
La réponse est donc ouverte.

Consultez l'intégralité de l'article sur le site d'Eveline Caduc.

23 octobre 2018 - Les vérités cachées de la guerre d'Algérie, le nouveau livre de Jean Sévillia

Le 23/10/2018

Article paru sur le site La faute à rousseau le 20 octobre 2018.

Livres & Histoire • Les vérités cachées de la guerre d'Algérie, le nouveau livre de Jean Sévillia

Plus d’un demi-siècle après l’indépendance de l’Algérie, est-il possible de raconter sans manichéisme et sans œillères la guerre au terme de laquelle un territoire ayant vécu cent trente ans sous le drapeau français est devenu un État souverain.

Consultez l'intégralité de l'article sur le site La faute à rousseau​

29 septembre 2018 - Lettre de Mme Simone Gautier, veuve d'un officier tombé sous les balles FLN à 28 ans, à Mr Emmanuel Macron

Le 29/09/2018

Nous vous communiquons la lettre de Mme Simone Gautier à Mr Emmanuel Macron.

 

 

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Objet : Affaire AUDIN / Affaire 26 mars 1962

 

Monsieur le président de la République,

 

Dans « l’affaire AUDIN », comme disent les journalistes, le corps du « disparu »,  n’a pas été retrouvé. Mais ce n’est pas un inconnu…

Dans « l’affaire du 26 mars 1962 », les corps sont retrouvés, massacrés, mélangés certes, les chairs éclatées, jetés en vrac à la morgue de l’hôpital Mustapha, mais « ils » sont là.

Dès leur arrivée, ils furent dénudés et rendus bien propres, bien lavés de tout ce sang, bien rangés les uns sur les autres, sur les tables et même parterre, bien alignés… les familles cherchant le sien, tirant par les pieds quand il en restait, hurlant en découvrant le visage fracassé… C’est vrai qu’au début on pataugeait dans le sang.  Et tout ce sang sur soi reste indélébile…

Par rapport à la disparition d’AUDIN, il est vrai : quelle « chance » pour les familles ! Ces corps étaient là, pas entiers, certes, mais bien là ! Les ambulances, déjà sur place, avaient fait du bon travail. Du « bonheur » en somme malgré nos pleurs et nos cris !...

Et l’Etat français, sans doute par compassion devant cette douleur, jeta à la rue, en pleine nuit, hors de l’hôpital, abandonnant leur mort, ces familles, dont je faisais partie. Quel mépris ! Quelle honte !...

Alors que chacun était si « heureux » d’avoir récupéré « son mort » et de finir la nuit près de lui, les corps furent aussitôt mis en bière, dans la pesanteur angoissante du « couvre-feu » et dans une interdiction absolue de toute présence familiale. C’était –paraît-il- afin « de nous épargner cette douleur »… par charité chrétienne sans doute !...

Ces cercueils plombés furent dispersés en catimini dans les différents cimetières de la ville et les familles, désemparées, couraient dans tous les sens pour retrouver « son mort », esseulé, séquestré dans une boîte posée là, au milieu de nulle part… Il y avait un nom sur une étiquette : c’était « à prendre ou à laisser ! »… Personne ne savait si la dépouille qui se trouvait dans cette boîte au fond d’un trou hâtivement creusé de nuit, était bien « son mort »…

Dans la tragédie du 26 mars 1962, on a fait disparaître les morts !

Depuis lors, le temps a passé mais la blessure demeure… « L’affaire du 26 mars » (comme l’appellent les médias) demeure enfouie sous une chape de plomb. C’est le grand silence de l’Etat complice… Le déni de justice qui, depuis 56 ans, recouvre la France d’une honte indélébile…

Cette « affaire » serait-elle d’une toute autre dimension que l’affaire AUDIN ?... Les 80 morts de la rue d’Isly auraient-ils moins d’intérêt à vos yeux que celui d’un traitre à sa Patrie ?

« L’affaire AUDIN » aura, néanmoins, suscité ma quête de la Vérité… Je  voudrai savoir, enfin, qui se trouve dans cette boîte devant laquelle je m’agenouille…

Un 26 mars 1962, mon mari, ancien officier du Commando de Marine Trepel est tombé sous des balles françaises. Il n’avait que 28 ans. Je n’ai guère eu le temps de lui dire « adieu »…Je n’ai pu lui crier mon amour… lui dire qu’il vivra éternellement dans mon cœur meurtri… lui donner mon dernier baiser… Cela vous parle-t-il Monsieur Macron ?

Alors je veux savoir avant que mes yeux ne se ferment, sur la tombe de qui, chaque année, je dépose mes fleurs en étouffant mes pleurs et mes cris…A cette fin, je sollicite qu’une autorisation me soit accordée afin de réaliser une recherche A.D.N.

En vous remerciant pour votre aimable obligeance, je vous prie d’agréer, Monsieur le président de la République, mes respectueuses salutations.

 

Simone Gautier
14 Avenue de France
06400 Cannes
04 93 43 28 97
simone.gautier@yahoo.fr
www.alger26mars1962.fr

28 septembre 2018 - Accords d’Evian ou la grande leçon vers l’indépendance

Le 28/09/2018

Article paru sur le site de Jeune Indépendant le 17 mars 2018.

Akli Mohamed-Saïd, principal conférencier, a réussi à apporter de l’eau au moulin de l’assistance, nombreuse et attentionnée. Le conférencier commencera effectivement par expliquer que ce concept même du cessez-le-feu interprété par les hauts responsables du FLN n’était pas la paix, mais une période transitoire devant aboutir à la mise en place de l’Etat algérien pérenne. Le mot d’ordre donné dans ce sens était que « tant que le gouvernement de l’Algérie libre ne sera pas sur le sol national, le peuple, les moudjahidine et les militants doivent être en état de mobilisation.

Consultez l'intégralité de l'article sur le site de Jeune Indépendant.

27 septembre 2018 - C’est l’Algérie qui a trahi Maurice Audin

Le 27/09/2018

Article paru sur le site de Causeur le 25 septembre 2018.

Récemment honoré au plus haut sommet de l’Etat après qu’Emmanuel Macron a présenté des excuses officielles à sa veuve, le communiste Maurice Audin s’était engagé non pas au nom de la France, mais au nom d’une Algérie indépendante. Il est donc absurde de le traiter de « traître » à la nation française.

Consultez l'intégralité de l'article sur le site de Causeur.fr

26 septembre 2018 - Travaux titanesques

Le 27/09/2018

Article paru sur le site de Jeune Indépendant le 11 avril 2018.

Bien des travaux titanesques sont réalisés dans le secteur de la ressource en eau au niveau de la wilaya de Tizi Ouzou. Il n’en demeure pas moins cependant que des efforts restent encore à faire pour que chaque foyer des 67 communes que compte la wilaya dispose de ce liquide précieux autant qu’il le désire et assurer une irrigation en quantité voulue des terres arables. 

Consultez l'intégralité de l'article sur le site de Jeune Indépendant.

25 septembre 2018 - Lettre du Comité National d'Entente des associations patriotiques et du monde combattant à Monsieur Emmanuel Macron

Le 26/09/2018

COMITE NATIONAL D’ENTENTE

des associations patriotiques et du monde combattant

Le Président

 

Paris, le jeudi 20 septembre 2018

Monsieur Emmanuel MACRON

Président de la République Française,

Palais de l’Elysée - Rue Saint-Honoré

75008 – PARIS

 

Le Comité National d’Entente (CNE), que je préside et qui représente plus de 40 associations patriotiques, d’anciens combattants et de victimes de guerre, soit environ 1.500.000 personnes, a suivi l'hommage que vous avez tenu à rendre personnellement à Madame Josette Audin et indirectement à son mari, Maurice. Ce rappel historique, plus de 60 ans après la mort tragique de Maurice AUDIN, a surpris bon nombre de membres de nos associations, qu’ils soient, ou non, des anciens de la Guerre d'Algérie ! Et une fois passé le moment d'étonnement pour les uns, voire de colère pour d'autres, et sans occulter la réalité des faits, je dois vous avouer que le déplacement du Chef des Armées a soulevé plus d'interrogations qu'il n'a apporté d'apaisements !

Faut-il que le Président de tous les Français parle de la Guerre d'Algérie, à travers un cas particulier, alors que les plaies ne sont pas encore refermées au sein de la communauté française ?

Parmi tous les métiers que le pouvoir politique a fait faire à l’armée française pendant 7 années, faut-il ne retenir que le plus sombre d’entre eux ?

Faut-il faire de Maurice Audin un héros national, oubliant ainsi qu’il trahissait sa patrie et l’armée française ?

Faut-il occulter que la bataille d'Alger, même si elle eut des heures sombres, a éradiqué le terrorisme qui frappait quotidiennement la population algéroise, permettant ainsi de sauver la vie de centaines d’innocents ?

Et s'il faut reconnaître la honte laissée par la torture de Maurice Audin, faut-il oublier de notre mémoire les centaines de Français kidnappés, torturés et assassinés et jamais retrouvés ?

S'il faut reconnaître les blessures de la France dans ce conflit, faut-il n’évoquer que la torture et passer sous silence le désarmement de milliers de Harkis, leur abandon sur ordre du gouvernement et leur massacre ?

Faut-il revenir sans cesse sur la Guerre d’Algérie, qui reste encore une blessure vive, dans la mémoire de l’Armée française, avec ses quelque 20.000 soldats morts pour une cause morte, cette guerre perdue malgré une bataille gagnée, ses harkis trahis en dépit des promesses faites et le drame causé par le putsch ?

Faut-il entreprendre un travail historique uniquement sur les disparus de la guerre d’Algérie, oubliant ainsi l’action humaine, sociale, sanitaire, éducative de pacification de la France dans ce pays ?

Faut-il rappeler la dimension tragique de la discipline en opérations, car tout ordre débute toujours par des mots, quelques lignes ou un geste, mais se traduit pour son exécutant par un acte qui l’engage, voire jusqu’à sa mort ?

 

Le Général d’armée (2s) Bruno DARY

Président du Commission National d’Entente

25 septembre 2018 - Festival de cinéma. Au revoir les Congo(s), bonjour les Algérie(s)

Le 26/09/2018

Article paru sur le site de Télégramme le 26 août 2018.

Douarnenez a pulsé au rythme des vibrations congolaises pendant une semaine. Ce samedi avait lieu la soirée de clôture de cette 41e édition, qui battu les records d’affluence, notamment dans les salles.

Consultez l'intégralité de l'article sur le site de Télégramme.